Sur une image d’EvaJoe
Pour la communauté des Passeurs de mots et pour le thème d’avril
Au tic tac de l’horloge
j’ai encore espoir que le temps m’interpelle
même si l’eau a coulé sous les ponts
et pourtant je t’ai parlé
j’ai même crié
mais tu ne t’es pas retourné
Tu as continué ton chemin
et moi je m’en suis allée.
Le temps c’est alors figé?
Pourtant
tu pars et tu reviens
chaque jour
immuable.
En cherchant le bien
trouverais je ce que je cherche
en avoir toujours plus
je sais que c’est impossible
inexorablement
nous passons
jusqu’au jour où nous nous en irons
mais toi tu seras toujours là
pour les générations d’après.
Il est 14 h 20 je cours
attraper mon train
l’esprit qui s’égare
et j’ai faillis ne pas te rejoindre.
Comme j’aime passé ces moments avec toi
l’horloge s’estompe dans la brume
je ne cours plus après les heures
je me laisse vivre.
Enfin, il était temps, le train part.
EvaJoe
il faut laisser faire le tps rien que le tps
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J’♥ beaucoup EvaJoe … le mien, pas fait encore, mais, ça viendra …
Bon et agréable début de semaine à toi,
Bisous.
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J’ai publié mon texte ce matin, tu verras, il est en complet décalage ! mais comme je te l’ai déjà dit, on ne peut copier ta photo.
J’avais aussi pensé au train dans un premier temps, un peu comme toi.
Prendre un train pour rejoindre quelqu’un qu’on aime, c’est très agréable. Et puis profiter du temps, également !
Bisous et bonne journée.
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Clara pour copier la photo d’Evajoe faut la prendre sur sa communauté pas ici 😉 Clic droit interdit 😉
Bisous
Domi.
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Le tout premier d’une série qui ne perd pas son temps !!! Bises Ravie de te retrouver…
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Le temps qui passe… Les trains qui défilent… Et l’imagination qui galope (sourire)
Bel écrit, EvaJoe, à partir de cette photo.
Peux-tu me la faire parvenir, stp ? J’ai le même problème que Clara. On ne peut pas la copier.
Merci et gros bisous,
Cathy.
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Voir réponse au dessus, mais j’imagine que depuis le 14 avril vous avez trouvé le moyen 😉
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le temps qui nous manque toujours même en courant. Très joli. BIsesssssss
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Bonsoir, EvaJoe,
Bien vu.
Mais accompagner le temps et s’en faire un ami est réjouissant : alors plus (moins !) de problèmes. Inutile de lui courir après : il nous dépasse toujours !!
Bises
Denise
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J’aime bien tout le début du poème tout empli de nostalgie, on ressent l’éphémèrité du temps…l’inquiètude du temps auquel tout est soumis. Bonne soirée EvaJoe
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Florence – Testé pour vous
Bonjour EvaJoe…Prendre le train pour rejoindre l’être aimé, c’est fantastique. Mais lorsque vient le moment de le quitter, reprendre ce même train n’a plus le même goût, la même joie, le même bonheur. Restent les moments passés ensemble, le bonheur partagé et peut-être la question qui traîne dans la tête : à quand la prochaine fois ? Quand est-ce qu’on se reverra ?
Bravo, c’est très bien dit, bien écrit…c’est triste et beau à la fois.
Concernant le carnaval de Toulouse, oui, tu as entièrement raison et je rejoins tout à fait ce que tu as écrit. Lorsque j’ai vu ce char, j’ai pensé à leur campement ou plutôt à leur bidonville. Ils vivent dans des conditions épouvantables. Se font expulser, repartent s’installer ailleurs, sans eau, sans électricité, sans aucune hygiène…et on leur jette la pierre. C’est honteux, totalement honteux. Pendant le temps d’un carnaval, ils ont partie de la population de Toulouse. Ils se sont sentis comme les autres, dans le sens où tout le monde les applaudissait…et là, ce moment pour eux devait être fabuleux. La fierté de dire « oui, on est comme vous, malgré tout ce que vous nous faîtes, on est là, on vit »…et j’ai trouvé ça génial. Je les connais car ils campent pas loin d’où travaille mon conjoint. Chaque jour, les gosses passent le voir et il leur donne des pains aux chocolat, il leur prépare des baguettes avec du nutella…un peu de douceur dans ce monde de brutes.
Le pire dans tout ça, c’est que les enfants sont rejetés comme leurs parents. On les met dans un moule déguelasse et on leur dit « allez, démerde toi pour t’en sortir ou crêve » et après on vient pleurer parce qu’ils mendient dans les rues…je m’énerve là…bref, merci pour ton coup de gueule…J’aime
A très bientôt
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On court toujours après le temps.
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Florence – Testé pour vous
Bonjour EvaJoe…Alors, pas de poils ou si peu ? Moi, pareil, puis avec les années, j’en ai de moins en moins et j’avoue que ça m’arrange. J’ai connu une gamine (lorsque j’étais au lycée) qui en avait sur la poitrine. Elle se rasait..Je te raconte pas son calvaire. J’espère qu’elle a pu un jour avoir les moyens de se faire une épilation au laser…mais franchement, j’espère que la sécu a pris la somme en charge, parce que franchement, elle en avait beaucoup et c’était un sacré handicap.
Tu vas bien ? Plus de blème de santé ? J’espère que tout est rentré dans l’ordre. Moi, je suis toujours « n’a qu’un oeil » et ça me soule mais je m’habitue plus ou moins..disons que je râle moins…c’est déjà bien hein ?
Allez, je file. Je termine ma tournée des blogs. A très bientôt et passe une très bonne soirée
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» En cherchant le bien, trouverai-je ce que je cherche ? » la seule façon de ne pas perdre son temps, surtout si le bien on n’oublie de le penser pour soi aussi.
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Ce qui est certain, c’est que l’on ne perd pas sont temps en venant découvrir tes pages. C’est très agréable et si divers.
Un thème intéressant et récurant dans mes poèmes que ce temps. Je n’ai pas encore écrit mon poème pour les Passeurs. Et pas saisir ta photo non plus.
Merci pour ce joli partage Evajoe
Gros bisous
Martine
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ça y est! j’ai pu enregistrer la photo
🙂
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Ce laisser vivre sans que le temps est d’emprise sur nous, quelle belle définition de la vie.
Bise.
Philippe.
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J’ai déposé ma contribution textuelle chez les passeurs de mots.
Bise.
Philippe.
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Le temps qui court, c’est une chanson me semble t-il 😉
Joliment écrit 😉
Bisous Evajoe et doux week-end!!!
Domi.
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