Lentement sur mon écran blanc s’estompe tes mots
Sur la pointe des pieds, sans rien dire tu t’en es allée
Que dire de plus, sinon que mes larmes ont coulé
Car dansant devant mes yeux je n’ai vu que des maux.
Une lumière opaque enveloppe déjà nos souvenirs
Comme si partir si loin détruisait tout sur son passage
la balade de tes mots s’achèvent avec ce dernier voyage
Mais pour l’ultime adieu sur ton blog je vais revenir.
Dans ce coin de paradis qu’un jour tu nous avais décris
je t’imagine à jamais assise devisant avec Prévert
A moins que ce ne soit Ferrat ou Félix Leclerc ?
En janvier de cette année tu célébrais les cinq ans de « Balade en vers »
tu soulignais les trente milles commentaires
Aujourd’hui je sais que tes mots nous manquerons et je vous les crie.
EvaJoe copyright juin 2015
A l’encre de mon imaginaire 
Je laisse une allée de silence où pourra venir se poser tout ce qu’elle aimait, et …ces quelques mots d’Apollinaire :
« J’ai cueilli ce brin de bruyère
L’automne est morte souviens-t’en
Nous ne nous verrons plus sur terre
Odeur du temps Brin de bruyère
Et souviens-toi que je t’attends »
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Permets-moi de m’associer à ta peine, à la peine de tous ceux qui connaissait Cathy, je ne l’ai pas connue hélas, je viens d’aller sur son blog, j’ai lu l’hommage de Domi. C’est très triste même si c’est son choix Amicalement MTH
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Je n’ai pas de mots pour décrire ma peine…
Qu’elle repose en paix
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Des années que nous avions des échanges sur nos blogs, plus ou moins régulièrement mais avec une grande fidélité . Je suis sans voix…Que dire ?
Mes yeux sont mouillés…Cathy sera dans mes pensées, je n’oublie pas les êtres même quand ils sont ailleurs…
Chère EvaJoe, je n’ai pas la force de lui écrire quelques vers. Peut-être cette citation du poète Novalis pour son choix : » Ne blâme rien de ce qui est humain. »
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Tout est dit depuis hier soir, il n’y a plus qu’à la laisser partir et se reposer au royaume des poètes .
Je n’arrive pas encore à y croire pourtant.
Quelle tristesse !
Merci pour tes mots, Evajoe et bisous
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cela m’a fait froid dans le dos quand j’ai appris cette nouvelle, elle était si gentille Cathy, qu’elle repose en paix
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Si bien dite, que cette ode d’au revoir à Cathy EvaJoe !
Oui, pars en paix, nous te reverrons ! À plus tard Cathy !
Douce soirée EvaJoe,
Gros bisous♥
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Eva, que dire c’est un tel choc on aimerait toutes tous avoir pu deviner et aider mais……………..J’espère qu’elle trouve la paix là ou elle a choisi de se réfugié….Bises
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bonsoir-
je m’associe à votre peine, je ne sais si je la connais , pas le nom du blog dans vos coms –
un très bel hommage ! bravo-
elle doit vous lire de là haut !!
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Tes mots sont beaux, elle les mérite tant!!!
Je suis abasourdie par ce départ inopiné du moins pour nous.
Je pense qu’elle a du souvent y songer mais j’étais bien loin de penser qu’elle était à ce point désemparée.
Accompagnons la dans ce voyage en lui souhaitant de trouver la sérénité du corps et de l’âme.
En ce qui concerne ta question pour son article en brouillon, je pense que ce n’est pas à nous de décider.
En tant que administratrice de l’APLN je vais rendre à son époux les écrits de Cathy, c’est à lui qu’ils reviennent avant tout.
Merci à toi pour ce bel hommage rendu à notre amie.
Bisous
Domi.
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C’est un très bel hommage.
Pensées pour elle, pour sa famille…
La vie est souvent bien difficile.
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Elle a coupé le fil et va nous manquer tellement ! Merci de ces mots…Bises EvaJoe
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respect!
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Bonsoir Joelle,
Bien triste nouvelle que du départ de Cathy pour un autre ailleurs.
Tes mots ne sont que douceur pour celle qui savait si bien les manier.
Les mots sont orphelins de sa plume.
Bise.
Philippe.
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Triste nouvelle pour mon retour de vacances. Créer des liens multiplie les peines, tout attachement, même virtuel, est source de joies et nous offre au risque de la blessure. En fait tout est offrande et vulnérabilité. Cathy nous a offert ses mots qu’elle ajustait avec élégance et charme, nos échanges ont certainement été un baume… mais tout ce qui est délicat est si fragile ! À son amitié, et par fidélité, nous ne pouvons que continuer d’écrire. Pensées pour elle et que nos mots soient assez légers et volent bien haut pour l’atteindre. Carmen
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