Où es tu voyageur solitaire
As-tu succombé?
A l’irrésistible appel du grand large!
Sur le sable blond
D’un océan bohème
les souvenirs se promènent
Le frisson du vent dans les voiles
Le cri des mouettes attendant leur pitance.
De l’aurore jaune pâle
aux couchers crépusculaires
Des guirlandes de ciel ourlent l’océan
En brillant tel mille feux au firmament
Mais seule dans cet autre dimension
Attends celle que tu as délaissé.
Février 2016 copyright EvaJoe
nous avons un bâteau mais à moteur petit 6.30 c’est moins romantique que le voilier !!
belle poésie-
Bizzz
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Ou est donc partis cet âme solitaire???
Peut-être que je ne sais pas bien voir mais, je ne constate pas énormément de changement quand au blog d’avant ce doit être très subtil…..Bisousssss
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IL s’est évaporé, peut-être, cet homme ! l’appel du large, certainement.
Bisous et bonne soirée.
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L’océan t’inspire 🙂
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Mais où est-il donc, oui, en effet ???
Bravo EvaJoe et bon vendredi tout entier !
Gros bisous♥
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Florence – Testé pour vous
Bonjour…l’appel du large…ah la la, j’espère qu’il a pensé à prendre sa bouée…sinon, peut-être qu’il sert de repas aux poissons…en tous les cas, c’est un écolo car il n’a pas emmené son vélo et celui-ci ne rouillera pas au fond de l’océan 🙂
Ah mais attends, je crois que j’entends le chant des sirènes…Ne cherche pas, il est allé les rejoindre…si, si, regarde bien, il est là-bas, on voit sa queue…de poisson fendre l’eau 🙂
Allez, j’arrête mes bêtises…à très bientôt :
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Bonjour Evajoe,
Un joli poème sur fond d’un océan à la beauté éternelle et changeante… Et un mystère à la fin.
Merci t bonne journée
Gros bisous
😉
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Un vent d’aventure souffle…Bises EvaJoe
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Comme toi, j’aime capter ces instants où le vélo, instrument de voyage, est posé là, dans tout le mystère de son histoire !
Tu vivrais ici, et notamment sur les îles, combien tu en photographierais !!!
J’aime cet « océan bohème » avec ces …………………. »guirlandes de ciel » , ensemble de mots délicieux !
A bientôt ma ….. »pèlerine des mers » (plus joli encore que le premier surnom !) : Ta pèlerine des chemins.
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Les guillemets ont pris le vent du large en pleine face, on dirait (RIRES)
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