Ici c’est mon pays
Je le chéri !
J’aime les sentiers qui rient
Les cascades qui éclaboussent
Les orages qui se répètent à l’infini
J’y berce mes jours
Et vit mes nuits.
Le soleil dégouline de sucre
Comme le miel de mes acacias
Qui scintille de douceur.
Sur l’océan un triangle de toile
Caresse la mer d’huile
Essoufflée, il attend
Le vent
Qui l’enverra bourlinguer
Sur le haut de la vague.
Je ne cherche plus d’ailleurs
Je l’ai trouvé mon nid
Il est des chemins
Où la passion s’étreint
Et où rien ne s’éteint.
Entre mer et océan.
Aucune idée de la région précise dont tu fais allusion mais, le poème est beau et en plus, s’applique à toute les régions vraiment aimée de ceux qui les habite…Bisousssss
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C’est la raison pour laquelle je n’ai pas précisé, je laisse chacun dans le flou, mais tout le monde le peut s’y retrouver.
Merci d’être venue commenter.
Bisous
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Un peu mon pays. Pas vraiment mon pays quoique … Pas de cascade ici, pas de montagne. Etrangement, l’orage tourne aussi.
Pas de mer, pas d’océan.
Je l’aime aussi mon pays même si j’aimerais l’avoir tout entier. Oups quel galimatias ! Tout entier ? Juste la mer de là-bas et la campagne d’ici !!!
Je me demande si tu n’es pas un peu dans mon cas !
Bisous EvaJoe
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Magnifiques, tes mots, EvaJoe !
Bonne soirée et agréable semaine à venir !
Bisous♥
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Jolie texte EvaJoe.
Hier c’était la journée noire.
Un poux-ronchon pas à prendre avec des pincettes.
Le chien FAROUK effrayé par les pétards des campeurs dans la nuit du 5 au 6 qui s’était fait la malle.
Et perte de mon mot de passe pour aller sur le blog en mode administrateur.
Pour le blog, heureusement que Saint Gibee était dispo, et gentiment, il a réussi à réinitialiser un nouveau mot de passe. C’est un ange cet homme là !
Pour en revenir à FAROUK, j’ai passé ma nuit blanche, en attendant que ces couillons de campeurs finissent de faire leur cirque pour la énième fois depuis qu’il fait beau, et à partir de 2 heures du matin, je tournais dans le quartier pour appeler FAROUK, et comme j’ai la voix qui porte cela a du en réveiller plus d’un ! J’avais laissé la barrière ouverte tout comme la porte de la véranda. La lumière aussi pour lui donner un repère et au petit matin, il est rentré, mais dans quel état. Je suis H.S. et je vais aller me recoucher. Bises et bon début de semaine
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Oui mais C’est où ? :
Bisous
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Ah ah, c’est vrai ? Alors, je t’y attends !!!
A toi de deviner maintenant ce que j’ai cru comprendre …hi hi !
Quel que soit le mystère de ce lieu, il porte au moins cette merveille en lui ….celle de t’avoir fait éclore un poème MA GNI FI QUE !!!
Vague-aimant tien : « sabine de la mer » (tu te souviens de cette réflexion d’enfant ? Non, c’était « Lola de la mer »)
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