Ici c’est mon Pays !

 

Ici c’est mon pays

Je le chéri !

J’aime les sentiers qui rient

Les cascades qui éclaboussent

Les orages qui se répètent à l’infini

J’y berce mes jours

Et vit mes nuits.

Le soleil dégouline de sucre

Comme le miel de mes acacias

Qui scintille de douceur.

Sur l’océan un triangle de toile

Caresse la mer d’huile

Essoufflée, il attend

Le vent

Qui l’enverra bourlinguer

Sur le haut de la vague.

Je ne cherche plus d’ailleurs

Je l’ai trouvé mon nid

Il est des chemins

Où la passion s’étreint

Et où rien ne s’éteint.

Entre mer et  océan.

Auteur : Eva Joe

Ma plume ne s'essouffle jamais, elle dessine des arabesques sur la page de mes nuits, elle se pare comme un soleil en defroissant le ciel. En la suivant vous croiserez tantôt Pierrot et Colombine dans mes poèmes ou Mathéo et son secret et bien d'autres personnages dans mes nouvelles et mes suspenses.

7 réflexions sur « Ici c’est mon Pays ! »

  1. Aucune idée de la région précise dont tu fais allusion mais, le poème est beau et en plus, s’applique à toute les régions vraiment aimée de ceux qui les habite…Bisousssss

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  2. Un peu mon pays. Pas vraiment mon pays quoique … Pas de cascade ici, pas de montagne. Etrangement, l’orage tourne aussi.
    Pas de mer, pas d’océan.
    Je l’aime aussi mon pays même si j’aimerais l’avoir tout entier. Oups quel galimatias ! Tout entier ? Juste la mer de là-bas et la campagne d’ici !!!
    Je me demande si tu n’es pas un peu dans mon cas !
    Bisous EvaJoe

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  3. Jolie texte EvaJoe.
    Hier c’était la journée noire.
    Un poux-ronchon pas à prendre avec des pincettes.
    Le chien FAROUK effrayé par les pétards des campeurs dans la nuit du 5 au 6 qui s’était fait la malle.
    Et perte de mon mot de passe pour aller sur le blog en mode administrateur.
    Pour le blog, heureusement que Saint Gibee était dispo, et gentiment, il a réussi à réinitialiser un nouveau mot de passe. C’est un ange cet homme là !
    Pour en revenir à FAROUK, j’ai passé ma nuit blanche, en attendant que ces couillons de campeurs finissent de faire leur cirque pour la énième fois depuis qu’il fait beau, et à partir de 2 heures du matin, je tournais dans le quartier pour appeler FAROUK, et comme j’ai la voix qui porte cela a du en réveiller plus d’un ! J’avais laissé la barrière ouverte tout comme la porte de la véranda. La lumière aussi pour lui donner un repère et au petit matin, il est rentré, mais dans quel état. Je suis H.S. et je vais aller me recoucher. Bises et bon début de semaine

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  4. Ah ah, c’est vrai ? Alors, je t’y attends !!!

    A toi de deviner maintenant ce que j’ai cru comprendre …hi hi !

    Quel que soit le mystère de ce lieu, il porte au moins cette merveille en lui ….celle de t’avoir fait éclore un poème MA GNI FI QUE !!!

    Vague-aimant tien : « sabine de la mer » (tu te souviens de cette réflexion d’enfant ? Non, c’était « Lola de la mer »)

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