
Ils partent dans la nuit brune
Pour au loin jetez leurs filets
Coque de noix perdu dans l’immensité
Nous les attendons au port pour la criée.
Fétu de paille qui vogue sous la lune
Pour au loin jetez leurs filets
La pêche n’est pas miraculeuse
Mais elle sera encore merveilleuse.
Au petit matin rentrent les pêcheurs
Où dans la cale s’exhalent les odeurs,
des jolis poissons pêchés dans leurs filets.
Une scène bien décrite qui se répète au quotidien…
Merci Joëlle
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Merci surtout pour avoir publié cette photo qui m’a faîtes tilter immédiatement, et au passage je rend à César ce qui appartient à César. Merci Jean Luc . Bisous à vous deux.
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Et avec les coefficients plus faibles, nous nous gavons de raie et de lotte, sans oublier les crabes et les araignées.
Bises et bon mercredi
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On voit la connaisseuse…Et comme moi la gourmet, car les gourmands ne connaissent pas la saveur de ces bons produits .
Merci de ton passage chez moi, bises aussi.
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Un métier dur et pas sans dangers pour nous nourrir.
Saluts respectueux pour eux.
Philippe.
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Entièrement d’accord avec toi Philippe. Un respectueux hommage à leur métier pas facile.
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Que c’est bon d’aller à la criée et se faire plaisirs avec du frais….vous en avez de la chance! Bisous
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Il faut que je sois sur la côte pour aller à la criée…Mais c’est vrai que nous avons cette chance d’avoir notre Pays bordé par la mer et l’océan. Bisous
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Un superbe texte sur le vécu qui en rappelle un autre, hein, EvaJoe : Super !
C’est bel et bien le 18 juillet :
Bon Anniversaire !
☼ et bonheur dans ton ♥ !
Bros becs♥ de mon Québec !
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Gros becs♥ … bien entendu …
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Rire j’avais bien compris….
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😀
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Merci pour tout, aussi bien l’anniversaire que se souvenir de mes écrits. Gros bisous
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Ils jettent leurs filets et ton poème est beau.
Un bel hommage à eux.
Bisous et douce journée.
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Quand j’écris j’imagine leurs gestes nobles, même si maintenant on ne jette plus guère ses filets, les moyens étant différents…Mais mon poème peut se le permettre.
Bisous
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Belle photo pour une vie où la pêche rythme les jours, et mérite bien le rythme de la poésie !
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En écrivant j’imaginais la scène ce qui donne sûrement cette balance entre la poésie et la pêche.
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Un sacré métier qu’ils font pour notre plus grand plaisir.
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Surtout lorsque nous nous trouvons en bord de mer que ce soit vers la Rochelle ou vers le Guilvinec.
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Tu as raison, il n’y en a plus tant que cela pour jeter les filets. Mais quel bonheur de manger du poisson et pas que pêché dans ces conditions.
Un métier rude et quand ils partaient à Terre Neuve … Je ne parle pas de la pêche industrielle n’est-ce pas, que la morue était bonne.
Bisous EvaJoe
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Bonsoir Eva, merci pour ce poème si joliment illustré, hommage à un métier bien difficile, celui des pêcheurs…
Passe un bon dimanche, bises de Shuki
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