Expressions du mois

expressions

Proposé par CLARA

Clara nous en propose 3 par mois, et au cours du mois, nous en choisissons une ou les trois

que nous illustrerons par ce que bon nous semblera :

une photo, un texte, un auteur, un poème, une citation…selon votre inspiration.

poiloeuf

J’étais à la poste, pas plus tard que la semaine dernière et la file s’allongeait comme un jour sans fin, j’attendais quand soudain je fus alertée par ce qui se passait à quelques encablures devant moi, une femme et pas n’importe laquelle imposante et très connue par chez nous faisait un bazar comme jamais je n’aurais osé, ni vous j’en suis certaine. Elle voulait des timbres mais pas n’importe lesquels, des timbres avec des châteaux, la préposée avait beau lui dire qu’elle n’avait pas exactement ce qu’elle voulait, la dame bien connue la houspillait en lui disant qu’elle les avait vu dans la vitrine située dans le bureau de poste. Aussi notre préposée se lève ce qui fait râler toute la file et se rend en compagnie de la donneuse de leçons vers la vitrine. Ayant un peu de temps et pas très pressé je demande à la dame qui me suivait de prendre ma place et je me rend à la hauteur des deux autres. Je regarde l’objet, enfin que dis-je le timbre  du litige.

Stupéfaite je fais un clin d’œil à la préposée de la poste, sous nos yeux ahuris nous voyons un timbre qui représente un enfant assis près d’un château de sable…Aussi je ne sais ce qui m’a pris mais je lui ai balancé, mais oh Madame P arrêtez de pinailler. Avec ce château là vous n’êtes pas prêtes d’en acheter un en Espagne, par contre vous faîtes perdre du temps à tout le monde….

cul-borde-nouilles-jeu-c

En faisant quelques recherches pour parler de cette expression j’ai trouvé tellement drôles celles d’autres pays qui bien entendu veulent dire la même chose…En voici quelques unes d’abord dans certaines villes de France, puis dans d’autres pays.

France Provence : Avoir le cul gros comme la porte de l’arsenal  expression Toulonnaise

                                   Avoir le cul comme la porte d’Aix (expression Marseillaise)

Allemagne (Bavière) : Avoir du cochon etc etc…

Voici le lien si cela vous amuse : ICI

 

battre-le-fer

Allez ne perdons pas de temps, la chance ne se présente qu’une fois!

Il faut agir au moment opportun et exploiter une situation sans attendre

 

J’imagine bien les candidats de n’importe quels pays (USA et France) qui briguent un mandat se mettre dans la tête pareille expression. Imaginons un cocktail de dialogues qui s’entrecroiseraient entre tous. Mais comme je n’ai pas envie de les faire causer je vous laisse l’idée des phrases qu’il pourrait se balancer à la tête lors d’un débat….

 

 

Le prince du désert

 

prince-desert

 

Il est apparu un soir où le sable annonçait une tempête

Sa djellaba flottait autour de lui et l’enveloppait tel un fantôme

A surgir ainsi  de nulle part elle aurai du être inquiète

Et pourtant  elle savait déjà qu’ils allaient former un binôme.

 

Il était immense et se découpait dans le ciel de braise

Il avançait d’un pas noble et ne se souciait pas du vent qui se déchaînait.

Ses paroles coulaient comme du miel , il ne lui comptait pas fadaises

Fascinée par l’aura qu’il dégageait ,ses  pas elle ne freinait.

 

Plus tard dans sa tente dressée sous la voûte étoilée

Il dessinait pour cette inconnue des signes incompréhensibles

Puis il posait sa main dans ses cheveux et s’amusait à les emmêler

Alors elle riait en lui disant tu es incorrigible.

 

Mille questions affluaient à ses lèvres

Mais sa bouche gourmande les faisait taire,

Leurs regards s’accrochaient et ils avaient la fièvre

L’amour irradiait de son corps comme la chaleur du désert.

 

Il transportait dans des abîmes profonds celle qui osait le toucher

La volupté régnait en maître sous ses caresses osées

Mais celle qui avait croisé son regard ne semblait pas effarouchée,

Et pourtant sa prestance avait de quoi l’imposer.

 

Son regard aux reflets changeants envoûtait quiconque le regardait

Mais rien n’était plus beau que cet amour conjugué à deux

Sans un mot ils se comprenaient, jamais il ne la grondait

Il riait à chacune de ces facéties et repoussait sans cesse leurs adieux.

 

Mais lorsque la folie des chiffres l’emportait il restait sourd à ses appels

Ce grand mathématicien s’adonnait à son travail pour parachever son oeuvre

Algèbre et géométrie  avaient la précision d’un coup de scalpel

Rien n’était laissé au hasard, surtout pas en mathématique, il allait au chef-d’oeuvre.

 

Il alignait des chiffres, des équations jusqu’à l’aube

Puis satisfait du résultat il laissait les mains de son amour parcourir son corps

Il riait lorsqu’elle comptait ses vertèbres, en jouant au professeur.

 

Quand elle se trompait, tout se terminait par des baisers

Et à nouveau l’amour les enveloppait

Pour enflammer leur corps et petit à petit s’apaiser.

 

Ai-je rêvé? Est-ce le prince du désert? Ce que je sais c’est que je le dédicace à Zoheir un ami qui aligne plus les chiffres que les mots.

 

 

EvaJoe copyright septembre 2016

 

Un étrange personnage

Tout en montant vers les Lanches la grand-mère pense, que ces individus qui se sont arrêtés de les suivre, vu qu’elle s’est engagé avec s petit fils sur les chemins de montagne, et qu’une belle voiture ne peut les suivre, vont essayer de kidnapper l’enfant dont elle a reçu la garde par son fils pour faire pression sur son père. Elle se demande ce que son fils a vu qu’il n’aurait pas dû voir là-bas. Mais ce dernier lui en a dit le moins possible certainement pour la préserver, elle et l’enfant. 

  • Regarde Mathéo la montagne qui a un petit voile c’est le Mont Pourris, ton papa l’a gravis avant de s’en aller en Afrique.

Mathéo ouvre des yeux grands comme des soucoupes, cela lui semble impossible à son papa d’être allé tout là-haut lui qui dit que marcher dans un désert c’est bien trop fatiguant.

  • Qu’en penses-tu Mathéo?
  • Mathéo dit que son papa n’aime pas marcher comment a-t-il fait pour grimper tout là-haut. 
  • C’est son papa qui l’a emmené, il était guide de Haute Montagne
  • Mathéo ne sait pas ce que c’est qu’être guide,
  • c’était lui qui accompagnait les cordées, enfin les gens qui voulaient grimper sur les glaciers.
  • Les glaciers Mathéo il connaît il les a vu sur le livre d’images de son papa.
  • Et bien sur ce livre tu as bien vu ton papa,
  • Oui mais il était petit.

La grand-mère est fort amusée par la réflexion de son petit fils, en effet Guillaume n’avait que 17 ans sur les photos de l’album qu’il a emporté dans sa fuite. Elle comprend que pour l’enfant ce n’est pas le papa qu’il a. Il a vieillis et un pli lui barre la bouche, le peu de temps qu’il est resté elle n’a pas retrouvé l’éclat d’espièglerie qu’il avait autrefois dans ses yeux. Son regard est à la fois triste et il semble désabusé, elle espère se tromper, mais l’Afrique ne le rend pas totalement heureux, à moins que ce soit la disparition des siens qu’il est mis dans cet état. Mais elle a bien sentis qu’il y avait un secret, mais il ne lui a rien confié de ses tourments.

  • Mamie on va bientôt arrivé parce que Mathéo est fatigué
  • Oui mon poussin, nous y serons juste après le bosquet.Ici nous sommes dans le Parc Naturel de la Vanoise, les gens que tu vas voir ne viennent que l’été, car la route l’hiver est impraticable à cause de la neige. Il faut monter soit à pieds par le chemin que nous avons empruntés soit en raquette.

Mathéo ouvre de grands yeux, tout est nouveau pour lui, mais il trouve tout beau et applaudis à chacun des mots de sa grand-mère.

  • Dans le chalet tu vas rencontrer ta cousine, elle a 8 ans quant à son petit frère il a un an de moins que toi, ce sont tes cousins, tu vas faire leur connaissance. Il y a aussi leur maman, la soeur de ton papa et son mari, ce sont ton oncle et ta tante.
  • Mathéo a aussi une tante en Afrique, mais Papa ne m’a pas dit où elle était en ce moment. C’est la petite soeur de ma maman.

La grand-mère trouve que son petit fils a des conversations d’enfant plus grand, elle est fort étonné mais ne lui dit rien, elle est soucieuse.

  • Voilà nous sommes arrivés au chalet de l’edelweiss, regarde c’est cette jolie fleur, tu la trouves belle?
  • Mathéo trouve qu’elle n’a pas d’odeur mais on dirait une jolie étoile. Alors oui, elle est belle!

Au même moment une fillette sort en courant du joli chalet en bois, c’est la cousine de Mathéo, mais l’aïeule n’a pas le temps de faire les présentations que la petite fille se pends au cou de sa mamie en criant:

  • Mamie est arrivée!

Puis brusquement elle s’aperçoit que cette dernière n’est pas seule.

  • C’est qui Mamie?
  • C’est ton cousin!
  • Mon cousin, mais pourquoi il est plus bronzé que moi?
  • Parce que sa maman est Africaine et que sa peau est plus sombre.
  • C’est quand même mon cousin?
  • Oui car son papa c’est mon fils aîné et qu’il est le grand-frère de ta maman.

Dès que Rosine a entendu ça, elle se précipite vers la maison en criant, maman ton frère est revenu il a amené son fils. Sa maman se précipite et découvre sa mère avec un petit garçon qui a le regard de son frère.

  • Maman? Où est Guillaume?
  • Rentrons je vais t’expliquer, Rosine peux-tu rester avec Mathéo, je dois discuter avec ta maman.

La petite fille ne se le fait pas dire deux fois, elle glisse sa main dans celle de ce cousin tombé du ciel et se précipite avec lui dans le petit pré en contrebas là où jouent une dizaine d’enfants. Bien entendu que leur arrivée fait sensation. Mais Rosine explique que Mathéo est son cousin et la fillette a déjà énormément d’ascendant sur  ses amis, que personne n’ose dire un mot. Tous intègrent rapidement le petit garçon dans leurs jeux. Mais Rosine qui est très observatrice s’aperçoit rapidement qu’il se passe quelques choses d’étranges. Une lumière se reflète sur Mathéo comme si on le suivait ou alors comme si il était observé, sans rien dire à personne elle s’éloigne un peu et voit un homme qui se dissimule derrière un bosquet, il a certainement une paire de jumelle mais il ne s’est pas rendu compte que le soleil se reflétait dedans. Son papa est inspecteur de police sur Paris, et, elle aime déjà bien faire des petites enquêtes ce qui fait toujours rire son papa, mais là, elle voit bien que ce n’est plus un jeu, cet homme observe son cousin. Son papa lui a toujours dit de ne jamais prendre d’initiatives seule, de toujours lui faire part de ce qu’elle trouvait bizarre, aussi elle va vite lui dire ce qu’elle a vu, quand soudain devant elle apparaît un grand homme habillé tout en noir avec le visage encore plus noir.

  • Où va-tu bel enfant?
  • Je joue et mon papa m’a toujours dit de ne jamais parler avec des inconnus
  • Je suis l’oncle de Mathéo
  • Non ce n’est pas vrai;

Mais au moment où l’homme va lui répondre, Rosine entend sa maman l’appelé ainsi que son cousin. Au moment où elle part l’homme la prend par un bras et tout en la secouant lui dit:

  • Si tu dis à quiconque que tu m’as vu, je viendrais te tuer la nuit.

A suivre…

 

Aimé/détesté ( septembre )

masque

 

Pour le nouveau jeu de RENEE, voici ce que j’ai détesté ces dernier temps.

ce que j’ai aimé viendra après car je veux rester sur une note optimiste.

Un ami dont j’ai parlé dans un poème est allé nettoyé une plage cotée d’Algérie proche d’un restaurant huppé.

J’admire ce qu’il fait mais j’ai détesté savoir que seul des personnes âgées sont venu lui donner un coup de main bien que j’admire leur dévouement.

Mais le pire dans tout cela ce restaurateur qui reçoit des sommités genre ambassadeurs  est resté planqué derrière ces fenêtres, n’a pas bougé un petit doigt de pieds pour leur donner un coup de main.

Quand ils ont eu terminé, le restaurateur les a jeté et insulté, même pas un merci. Je déteste cette manière de faire.

Je déteste voir des immondices qui s’entassent ici ou là!

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photo prise aux abords de ce restaurant!!

 

Ce que j’ai aimé, et bien vous devez vous en douter ce sont mes vacances….

Alors voilà je vous met d’autres photos, 

Celle-ci que j’aime énormément et qui m’inspirera certainement un poème :

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J’ai aimé ce dépaysement total proche du Passage du Gois où la nature n’est pas agressée!

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Sur l’île de Noirmoutier deux ânes qui s’aiment d’un amour tendre…

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Un bateau invite au voyage…

 

p1010822J’ai aimé mes vacances et là je m’en vais dans ce voilier, à bientôt pour d’autres images que j’aime!

Mathéo

Aussi silencieusement qu’il était arrivé, Mathéo est retourné dans sa chambre, il est petit mais il a déjà compris beaucoup de choses. Son papa a beau lui les cacher il sait que sa maman a été emmené par des méchants messieurs ainsi que sa grand mère Fath.

Mathéo ne connaît pas le pays de son papa, juste sur des photos que son papa lui a montré. Mais il ne sait pas ou est son grand-père, il ne l’a pas vu, lui aussi a dû être enlevé, pourtant son papa lui a expliqué dans l’avion que la France était un pays civilisé. Depuis que sa maman a disparue il dormait avec son papa, mais là il est tout seul et la maison est grande, il a à nouveau peur et la petite lampe est éteinte. Il n’ose pas appeler sa grand-mère et encore moins son père, normalement il n’aurai pas dû le voir c’est bien parce qu’il s’est levé qu’il les a vu tous les deux en train de pleurer. Rien que de se souvenir de leurs larmes Mathéo se met à pleurer ce qui alarme son père qui dort dans la pièce à côté. Que faire, allez le consoler, mais alors il saura qu’il est là, aussi quand il entend sa mère se lever il ne se lève pas et ce, au prix d’un grand effort, dans moins de trois heures il sera reparti pour Djibouti.

L’aïeule se penche sur le lit où son petit fils ne peut retenir ses larmes, il sanglote, mais la grand-mère sait ce qu’il faut faire, elle prend l’enfant dans ses bras et le câline, petit à petit les larmes se tarissent, l’enfant le pouce dans la bouche se rendort, elle attend quelques instants et délicatement repose son petit fils dans le lit, remonte le drap puis la couette, allume à nouveau la petite lampe et sur la pointe des pieds se retire. 

Quand le papa de Mathéo quitte le chalet familial l’enfant dort tranquillement, il s’approche de son tout petit et lui dépose un baiser délicat sur le front, l’enfant bouge à peine, il dort profondément, le papa voit la trace des larmes sur sa joue satiné, il les essuie et embrasse son petit visage encore gonflé par les sanglots. Puis doucement il prend son sac à dos et s’en va sans faire de bruits.Auparavant il a embrassé sa mère qui ne dormait pas et écrivait dans son petit salon.

Il est 9 h le soleil est levé, Mathéo vient de montrer son bout de nez, sa grand mère l’attendait dans la cuisine, elle sait ce qu’il boit le matin, pour la nourriture elle avisera au fil des jours; les petits déjeuners à Djibouti était fait de bouillie d’avoine accompagné de mangues, de goyaves voire de bananes et sa maman lui faisait un  pain qui ressemblait à une grosse crêpe « le lahoh ». Alors ce matin sa mamie lui a mis sur la table du thé qu’il lui arrive de boire quelques fois, des céréales, une banane et des crêpes, va-t-il accepter ce repas, rien m’est moins sûre mais il faut essayer. Ses premiers mots sont pour sa mamie:

  • Mathéo a faim et chez mamie ça sent bon

Pour l’aïeule ces quelques mots sont déjà une petite victoire, et lorsqu’elle voit son petit fils dévoré ce qu’elle lui a préparé elle est convaincue qu’entre eux deux il y a des chances qu’avant la fin des vacances ils s’entendent bien. Toutefois elle pense à son fils, qui est repartis vers sa vie, le pays qu’il s’est choisis, sa femme qui attend un enfant, va-t-elle pouvoir survivre à la privation de son enfant, aux coups. Personne ne sait ce qui s’est réellement passé, son fils a émis quelques hypothèses mais pour elle, qui vit en France, là-bas c’est inconcevable. Il connait de nombreuses personnes, il est capable de se débrouiller seul, mais combien de temps va-t-il s’écouler avant son retour en France auprès des siens, et ramènera-t-il sa femme, et leur enfant. Mais la grand-mère qui était plongée dans ses questionnements sent qu’une petite main vient de se glisser dans la sienne. Mathéo a tout dévoré et il voit bien que sa grand-mère pleure.

  • Mathéo ne veut pas que sa mamie est des larmes dans ses yeux, Mathéo veut aller voir la grande montagne.
  • Tu veux aller te promener?
  • Mathéo veut bien
  • Alors met ce petit blouson, tes chaussures, une casquette ayant appartenu à ton père et nous y allons, mais on va s’arrêter au village pour prendre quelques victuailles.
  • Mathéo ne connait pas les victuailles, qu’est-ce que c’est?
  • C’est de la nourriture,
  • du pain?
  • Oui et pleins d’autres choses que ton papa aimait bien.
  • Alors Mathéo veut bien,

Pendant que sa grand-mère se prépare, Mathéo regarde par la fenêtre, il voit à quelques mètres de la maison un homme de son pays qui regarde de ce côté. Dès qu’il voit sa mamie il remonte dans sa voiture noire, la mamie l’a aussi vue, elle fronce les sourcils, qui peut bien avoir un chauffeur? Mais elle ne doit rien dire ou faire part de sa frayeur à son petit fils, par contre elle va passer voir son gendre pour lui demander de se renseigner, il est en vacance avec sa fille au chalet des Edelweiss en montant vers les « Lanches », il saura faire marcher ses connaissances, après tout il est inspecteur de police sur Paris, mais il connait pas mal de gens sur la vallée. Cette voiture portait le sceau officiel d’un pays, mais elle ne connait pas celui de Djibouti, elle va faire un croquis pour éviter de ne plus d’en souvenir lorsqu’elle verra son gendre. On serai donc déjà sur la trace de son gamin? Et bien ils ont fait vite se dit-elle en son for intérieur. Comment faire pour protéger son petit fils? Ici en France et à Peisey- Nancroix petit village de  Savoie ce serai bien malheureux qu’il y est un autre rapt, et en quoi un enfant de 6 ans et demi pourrait les déranger.

A suivre…

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