Ce texte fait suite à une discussion avec une amie qui me faisait remarquer judicieusement que ma colère se muait plus en déception….
Chut! Ne cherchez pas à savoir de qui je parle dans ma lettre, chut ne me dîtes pas un nom, un pseudo, je serai aveugle et je ne vous dirais pas si vous êtes dans le droit chemin ou au bord du précipice…
Et comme on dit souvent toute ressemblance avec une personne de votre connaissance serait purement fortuite….
Je ne suis pas femme de scène
encore moins femme en politique
Si j’étais orateur aurais-je un franc succès?
Mais je n’en suis pas là dans mon discours.
J’ai juste envie de le dire au travers d’un poème
Que l’on peut-être déçue par des mots posés sur la toile
Fallait-il que je te dise qui j’étais vraiment
Que jamais je ne blessais l’autre, au contraire.
j’essaye toujours de réparer les cœurs blessés.
Souvent j’ai réussis à régler des conflits
Je n’en n’ait tiré aucune gloire
Et demain s’en souviendra-t-on encore?
Que m’importe !
L’essentiel c’est votre bonheur!
Si tu le voulais je t’apprendrais à lire au cœur des gens
A voir l’alphabet du bonheur, et tu verrais danser les mots
Tu ne t’imaginerais plus que chacune de mes phrases
Sont écrites pour te blesser, voire même t’injurier?
Si je te montrais ce qu’est le rire de la haine
Tu saurais deviner les étoiles de mon ironie
Je suis taquine, oui je l’avoue
Mais cela ne veut pas dire je te désavoue.
Il faut parfois savoir ôter sa carapace
afin de pouvoir rire de toutes les grimaces
elles ne sont pas là pour dire la rancœur
Mais juste pour faire réagir sans trop d’humeur!
Viens écouter le murmure de mon banc
il est là auprès de mon Canal
Il n’a jamais entendu un cri de colère
Juste des mots susurrés avec amour.
Aussi loin que mon regard se porte
Je ne vois qu’une seule ligne
Semblable à celle de l’horizon
Je n’en dévie jamais, je marche droit.
La vie égratigne plus de personnes que l’on croit
Mais le dire et le redire n’a jamais fait avancer les choses
Reste toi même et personne ne t’en voudra
Mais évite de mettre ton cœur à nu ici sur la toile
Je ne puis ni me voiler, ni me changer,
Je resterais moi-même, mais change ton regard
Car je ne suis pas celle que tu crois que je suis.
Je n’aime pas que l’on me passe de la pommade
Ni que l’on me flatte cela me hérisse
Je resterais moi-même n’en déplaise.
Si un jour tu venais au cœur de mes mots
Tu apprendrais le frisson du vent dans les arbres
J’espère ta venue car ce qui fait ma vie est plein de je t’aimes!
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