Lançant leur premier feu sur le silence de la nuit
les braises se consumment en une belle rougeur
en laissant le vieil homme éveillé et songeur
doucement elles s’endorment sans bruit.
Dehors entre les murs de neige la vie s’endort
seul un oiseau s’envole et se réfugie au nid
la neige en tombant ressemble à de la chantilly
le sommeil de la maison répond au silence dehors.
Tisonnant à nouveau les braises mourantes
le viel homme garnit son poele pour la nuit
et s’en va se coucher avant l’aube frissonnante.
Dans ses rêves il embrasse le soleil au zénith
rêvant de blés jouant avec le vent
voyant aussi dans le ruisseau passé une truite.
Que j’aime ce poème, l’atmosphère, le temps qui s’étire, une sorte d’hibernation palpable dans le rythme de tes vers.
Merci Evajoe, bisous, Plume .
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Bisous
Alain
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Comme on se sent bien dans ton ambiance feutrée, repoussant au dehors les frimas de l’hiver et à l’égal de son endormissement profiter aisément de la chaleur du feu, pouvoir s’assoupir après
l’envoûtement dû à la magie des flammes, ensorceleuses de l’âme et porteuses de sérénité.
Merci au nom de la communauté
J’espère que tu vas bien, je suis toujours surbooké et mon temps sur la blogosphère relativement réduit.
Je t’embrasse et te transmets toute mon amitié
Le Noctamplume
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La neige est la magicienne de l’hiver .
Bisous tout doux.
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