En caressant le chagrin de votre visage
Je découvre en vous la femme fleur
Vous êtes là, ce n’est pas un leurre
Mais comment accosté à votre rivage.
Espérant tout de vous
Je vous déclare ma flamme
Au pire je ne risque qu’un blâme
Mais vous déclinez un rendez-vous.
Votre réponse me met en colère
Mais je vous pardonne votre dédain
Je vous repousse tel un mondain
Et vous laisse dans votre galère.
Je suis éconduit mais j’ai vu vos yeux
Briller comme pierre précieuse
Je pousse le badinage et deviens odieux.
Vous me confessez l’émoi que je vous procure
Tout en refusant de baisser votre garde
Ne voyant en moi que le péché le plus obscur.
A ces mots j’en reste coi
En une pirouette vous me décochez une flèche
Et je vois sur votre visage un air narquois.
C’est du beau marivaudage, ton poème.
La belle sait se faire désirer.
Bonne soirée et bisous.
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Sauf-conduit ou sauve qui peut…
J’ai presque de la peine pour ce prétentieux! :p
HIhi
Bisous m’dame
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Tu as vu la scène, pour la narrer aussi bien?
Tu te mets admirablement bien à la place de l’éconduit et tu as le don de penser comme un homme et une femme à la fois.
Chapeau ma soeur des mots
Bisous et douce nuit
Le Noctamplume
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Elle est bien turbulente cette plume mais …tellement délicieuse, toute vêtue de printemps !
Mille bisous : ta p’tite soeur des mots.
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on ne badine pas avec l’amour……
bisous Eva
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d’amitiés Evajoe et à bientôt
Roger
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ou alors une belle imagination..toujours est il que c’est très réussi ..bravo Madame..gros bisous..
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Bonne journée et bisous,
Cathy.
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Je suis venu te souhaiter une douce nuit et un bon dimanche.
bisous
Le Noctamplume
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Ah l’amour devient parfois colère quand il n’offre pas à l’autre ce qu’il voudrait. Bravo pour ce beau poème. Douce journée. Bisous. Corinne.
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Bisous et bonne fin de semaine. Alain
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