Le voilier blanc monte à l’assaut des vagues
où ses voiles se gonflent au vent de pluie
et là haut accroché aux nuages s’ébouriffe la nuit
en pourfendant le ciel en une puissante dague.
Au moment ou l’aube accroche l’embarcation
des perles de brume l’ engloutissent à notre regard
en gémissant l’océan le laisse hagard
et le frêle esquif disparait en un tourbillon.
Sous le soleil au zenith la mer est d’huile
il passe de rochers sombres aux plages blondes
en éclairant le bateau qui tangue pret de l’île.
Lorsque le souffle du vent est invisible
la mer retient ses soubresauts rugissant
domptant le bateau, il devient insubmersible.
je vais aller surfer les vagues de mon lit (rires)
bon week-end
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Il ne manque plus qu’une peinture que tu aurais pu réaliser pour illustrer.
Très bon week-end et bisous.
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Merci, Evajoe,
Bonne journée et bisous,
Cathy.
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Bisous et bon dimanche. Alain
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Les voiliers blancs, au vent, il faut que le ciel soit d’accord. Lutter contre les éléments, c’est poétique quelquefois mais dangereux.
Bonne journée et continue, poète, à caresser les mots.
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Heu non ça c’est autre chose! :p
C’est sur ce vent du large que je m’en vais remplir ma tache maternelle! 😉
Bon dimanche et gros bisous!
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Un bien joli poème
Ce matin , ma box ne fait que couper , je me dépêche donc d’écrire
Douce journée ,Joelle
Bisous
timilo
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fort à faire.
Je n’ai pas le pied marin et je préfère imaginer cette scène bien caché devant mon PC
Bisous et bonne semaine Eva
Le Noctamplume
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merci Eva tu me fais plaisir
bisous
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Je vais m’endormir bercée par le souffle de la Mer
Bisou et bonne nuit EvaJoe
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