Ses pas hésitants l’entraînent toujours plus loin
Elle suit le chemin de sa vie dans ce désert
Pas de trace si ce n’est celle de la misère
Avancer est une torture, il faut serrer les poings.
Soudain elle aperçoit une ville merveilleuse
Qui sous le soleil se pare de colliers
Cela est fort étrange en ses lieux inhospitaliers
Elle presse le pas dans la descente périlleuse.
Elle voit du sable où que se pose son regard
Ici, ou là ce n’était qu’un mirage
Le temps n’a pour elle aucun égard.
Lorsque l’ombre envahit la nuit d’ivresse
Elle garde dans sa mémoire cette image.
Etreignant le jour de ses rêves caresses.
A l’encre de mon imaginaire 
J’aime beaucoup les « rêves caresses »
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En ce qui concerne la pub intempestive sur mon blog, je ne sais d’où elle vient, je ne touche absolument rien. C’est désagréable et je ne sais qu’y faire, d’autres me l’ont déjà dit.
Ton poème est triste et beau à la fois.
Cette jeune femme sans illusions, vivrait-elle ?
Parfois cela fait tenir mais parfois cela fait très mal aussi quand on tombe de haut.
Tu es toujours très sensible à tous les ressentis des humains.
Bises et bonne soirée.
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Jolie plume que la tienne Joelle
Bon et doux ,Dimanche
Bisous
timilo
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Un mélange de tristesse et de tendresse tant en image qu’en intensité. Un coeur hésitant qui suit son chemin de vie. le mirage s’évanouit lorsque le jour revient. Il est possible de remonter des
grands fonds Eva car la solitude est riche dans ce désert de sable que l’on traverse. Très bel écrit. Bisous et douce journée. Corinne.
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Bisous et bon lundi
Alain
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bisous tendre Eva
belle soirée
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Dans chaque illusion, il y a toujours une portion de vie et de vérité qui nous a fait grandir !
A bientôt ma poétesse adorée ………ta p’tite soeur des mots.
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et je me dis que le mirage est quand même l’espoir d’un autre ailleurs d’un autre possible
bonne soirée
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Merci EvaJoe pour cette belle métaphore
Bisou
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