Première partie
Certes, ce n’était pas des rois qui régnaient sur les laboratoires DELMAS mais en quelques sortes cela y ressemblait. C’était de père en fils que la Société se passait. Mais en ce matin du 14 juillet lorsque le médecin annonça au père de famille que sa femme n’aurait plus d’enfants ce fut un coup de Trafalgar qui se propagea dans tous les étages de la clinique où la jeune femme venait de mettre au :monde leur premier enfant, une belle petite fille de 3 kg 530. Cet accouchement ne s’était pas déroulé comme prévu. L’amour de sa vie avait perdu les eaux la veille au soir vers les 23 heures, leur médecin s’était aperçu que l’enfant ne s’était pas retourné, et, il avait préféré la conduire à sa clinique qu’il possédait à Neuilly. Tout s’était enchaîné très vite, une césarienne serait faîtes à la future mère sous péridurale. L’enfant avait vu le jour en ce matin de fête Nationale, Pierre, superstitieux, avait préféré attendre la naissance pour voir son fils, car il en était persuadé cet enfant ne pouvait être qu’un garçon. Aussi quand la petite France eu poussé son premier cri, le papa fit contre mauvaise fortune bon cœur, le bébé était magnifique. Sa fille aurait rapidement un frère et cela éviterait la fuite de leurs capitaux vers un de ses neveux, fils de son demi-frère décédé. Mais c’était sans compter sur le destin qui s’acharnait sur eux.
Les six premières années de la vie de France furent des plus agréables, son papa adorait le petit air mutin de sa fille qui savait jouer de sa beauté auprès de lui, tous les deux ils voyageaient en bateau et se rendaient souvent dans les Alpes où France su faire rapidement du ski et elle suivait son papa sur les pistes. Puis un matin, et jamais France ne su comment cela avait viré au cauchemar, alors qu’elle allait sur ses six ans. Son papa la fit appeler dans son bureau ou elle avait passé de longues heures à jouer et à rire auprès de lui.
Tout d’abord il lui avait signifié que les jeux de bébés n ‘étaient plus de son ressort et que les laboratoires dont il s’occupait n’avait plus envie de voir cette petite fille traînée de longues heures pendant les vacances scolaires avec sa poupée, en attendant qu’il termine son travail, aussi en accord avec sa maman qu’elle ne voyait pas souvent, elle irait en internat à la prochaine rentrée scolaire pour son entrée en sixième, et, elle rentrerait à la maison quand son père ne serait pas occupé au dehors, ce qui semblait à France être une injustice car sa maman était depuis de longs mois hospitalisé, et son papa rentrait de moins en moins en fin de semaine. Il prétextait des tas de choses à faire mais France trouvait cela bizarre car il l’embrassait de moins en moins et ne la prenait plus dans ses bras. Par contre il sentait de plus en plus souvent l’alcool et de cela, bien que fort jeune elle s’en était rendu compte. Son oncle, le petit frère de son papa n’avait pas l’air content, c’est son cousin qui lui l’avait raconté.
Aussi cet été là elle savait que c’était sûrement ces dernières vacances heureuses, la suite n’allait pas tarder à lui donner raison.
A Suivre
Pauvre petite, alors ! Hâte de voir ce que sera la suite …
Bonne journée de ce jeudi à toi EvaJoe !
Gros bisous♥
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Voilà un roman qui va avoir de gros rebondissements! Bisessssss
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…ça promet !………….
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Pauvre petite fille riche, comme dans la chanson de Cloclo !
Que va-t-il lui arriver ?
Bises et bonne journée.
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une histoire poignante qui commence
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La pauvre! Tant de bonheur lumineux et puis… la grisaille?
Je vais attendre la suite avec impatience
ps: je me lance également dans la nouvelle. J’en suis la première étonnée. Certes, elles ne sont pas très longues, mais que c’est excitant.
Bisous
😉
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Une histoire émouvante qui commence , voyons ce que la suite nous apprendra .
Bises
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Ca tombe bien que j’aie du retard dans ma lecture. Je vais pouvoir lire la suite tout de suite !
Il faut quand même être bien nigaud pour réagir de cette manière. Au fait, tu ne dis pas à quelle époque se situe ton histoire.
Bisous
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Coucou Pimprenelle,
On dira dans les années 80…Voilà…. Tout est écrit mais je met au fur et à mesure et je laisse du temps j’ai 3 retardataires, il va falloir que je les relance..Rire, Même 4..J’ai oublié Gibee il aime bien me lire..Mais souvent, lui il attend la fin….
Bisous
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Coucou je suis là mdr
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Me voilà 🙂
Je vais le dévorer ton roman, ça commence bien…ou mal pour la petite France :o, bisous
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Coucou je suis là mdr
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