Allez je vous en remet une page, c’est bien parce que c’est Vous et que vous êtes assidu. Vous n’êtes pas nombreuse, certes mais de qualité…Non je ne vous flatte pas, je vous remercie.
Aussitôt une invasion de policiers envahit la petite maison. Le portrait-robot du petit garçon correspond tout à fait, mais qui est l’autre enfant ? Et où est la petite fille, car dans la maison ils ne découvrent qu’une jeune femme affolée qui leur dit être la nounou des deux enfants qui jouent dans la cour. On l’a engagé il y a un mois pour s’occuper au départ que du petit Charles puis depuis quinze jours on lui a amené le petit Adrien, mais elle n’en sait pas plus. Elle leur signale que le père des deux enfants doit venir dans la matinée. Ils vont donc planquer en mettant les deux enfants comme appât, ce qui semble aux yeux d’Amaury comme un jeu extrêmement dangereux, mais personne n’a d’autres solutions. La jeune femme leur signale qu’il ne devrait plus tarder, les voitures sont éparpillés dans la nature et bien cachés aux yeux du « faux père » qui semble arriver, car on entend au loin un bruit de moteur, plus exactement un tracteur. Amaury ayant accepté d’être silencieux est resté, quand à Léa, elle vient de s’endormir sur la jeune policière, exténuée par ses nuits sans sommeil. Mais ils ont préférés l’éloigner on ne sait jamais ce qui pourrait se passer si par hasard c’était l’homme habillé en noir qu’il les avait abandonné dans le square il y a 8 ans. Car, comme le pense l’inspecteur il doit bien y avoir des personnes ayant trempés dans les deux enlèvements, sinon à quoi cela pourrait correspondre cette cachette en tout point semblable à la première, sauf que les lieux avaient été bien restaurés.
La consigne est simple, ils laissent le tracteur se garer devant la maisonnette, l’homme en descend, l’inspecteur scrute le visage d’Amaury, il semble mal à l’aise, tout bas il lui chuchote :
- Que se passe-t-il Amaury ? Le reconnaissez-vous ?
- Oui, c’est le fils de Nanie, enfin je crois car il a changé, mais il lui ressemble bien.
L’homme s’approche des deux enfants, mais ne les regardent nullement, c’est étrange de se comporter ainsi pense l’inspecteur, la jeune bonne complètement affolée sort sur le pas de la porte et attend les ordres il leur semble. Pourvu qu’elle ne fasse pas rater leur opération, elle leur semble assez fébrile, l’homme va se rendre compte qu’il se passe quelques choses.
- Mademoiselle je suis venue vous apporter votre paye, à partir de ce soir nous n’aurons plus besoin de vos services.
- Ah ! Vous m’aviez embauché pour six mois, vous me renvoyez ?
- Non mais la mère de mes fils est de retour.
- Ah parce que Charles et Adrien sont frères ?
- Oui et non, ils ont le même père, moi en l’occurrence mais je les ai eu de deux femmes différentes.
Au même instant le petit Charles qui est monté sur la balançoire tombe et Amaury échappant à la surveillance des hommes de l’inspecteur se précipite pour le relever, ses cris attirent le soi-disant père et la jeune nounou à l’extérieur. Les deux hommes se jaugent d’un regard, si l’un sait qui est le plus âgé, l’autre a comme un doute, et c’est à ce moment que l’inspecteur et la BRI décident d’intervenir. L’attitude d’Amaury fait que c’est un peu brutal la rencontre qui a lieu sous les yeux des enfants, mais bien vite ils sont soustrait à tout ce tapage et emmenés par des auxiliaires de police à l’abri de l’assaut final, car l’homme s’est précipité vers son tracteur pour attraper une arme de poing, mais rapidement maîtrisé il s’est effondré sur le sol, garrotté et mis en lieu sûr. A nouveau un grand silence, l’opération qui s’est déroulée sous les yeux de la nounou et d’Amaury est terminé, maintenant ils doivent à nouveau planquer, en effet, la jeune femme leur apprend que l’on doit venir chercher les enfants vers midi. Il est à peine 11 h 30, ils ont largement le temps d’évacuer les petits, mais si ces derniers ne sont plus là, il y aura suspicion, donc à nouveau les enfants rentrent dans la maison et sous la houlette d’une auxiliaire de police devenue pour la circonstance la nounou, ils jouent calmement, ils ne sont nullement perturbés par le changement, sauf peut-être le petit Adrien qui n’a d’yeux que pour Amaury, qui aux dires de la policière est le portrait vivant en plus jeune de son papa et à un air de ressemblance avec le fameux fils de cette Nanie. Tout cela s’oriente vers une sombre histoire familiale, mais laquelle nul ne le sait mais gageons qu’elle sera révélatrice d’un drame.
Ouf ! J’attends, et n’ose imaginer le pire !
Bonne fin de semaine EvaJoe !
Gros bisous♥
J’aimeJ’aime
Le dénouement est proche et les explications de tels comportements également.
Tu nous tiens en haleine !
En attendant la suite, bisous et bon week-end.
(pour info, je supprime mon compte FB)
J’aimeJ’aime
J’ai lu ce dernier chapitre car je ne sais plus où j’en étais de ma lecture avant les vacances. Je crois bien que je vais lire dans le désordre (ça me fera une petite gymnastique mentale) 🙂
J’aimeJ’aime
J ‘avais oublié ce chapitre donc je reviens en arrière pour y voir clair et je repars dans l’autre sens mais c’est toujours aussi plaisant.
Bises
J’aimeJ’aime
Je reviens un peu sur tes écrits, j’ai un peu plus de temps et ca fait du bien de prendre une bonne pause pour lire tranquillement. J ‘étais persuadée d’avoir laissé un com sur ce chapitre et bien non , raison de plus pour revenir en arrière.
Bisous
J’aimeJ’aime