L’Univers frisssonne au son d’un violon qui livre sa plainte
En laissant des larmes qui se noient sur la surface de l’étang
Pour chuchoter des mots fort inquiétant
Pour ceux qui ne peuvent traduire la complainte.
Des volutes de fumée parsèment les champs et poussent le temps
Il s’enfuie l’espace d’un matin
En poursuivant des chimères un tantinet enfantin
Afin de renaître au firmament éclatant.
Les mots s’entrechoquent avec les notes
l’un veut être parole, l’autre musique
Tous se montrent héroïques.
Puis les notes étouffent le silence
Les mots se pavanent mais reste basiques
Alors à nouveau les frissons surgissent.
Le 1 Août 2016 copyright
c’est super joli ce petit poème, bonne poursuite de tes vacances. Bisousssss
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Une très belle complainte mêlant les mots, la musique, le temps…
Bisous.
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Selon qui le fait vibrer, le violon, tantôt chante, tantôt se plaint, mais jamais il ne laisse indifférent… Quant aux mots, il y aurait tant à dire à leur propos ! Merci Eva pour ce joli poème et belle vacances ensoleillées… Bise de Shuki
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Bravo 🙂
Joli poème, bisous
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En te lisant j’imagine un paysage de steppe, un enfant emmitouflé de laine joue avec un objet taillé, ses yeux bridés rient avec le ciel et le silence entonne pour lui un air de violon ………..
C’est fou ce qu’un poème peut créer de voyages …………..!
Merci pour celui-là, qui fut très beau …………….
Tendre-aimant : ta pèlerine
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