Sous les tuiles du toit
Se nichent des fils de soie
Et les heures courent inexorablement
Tout en avalant le temps.
Le silence s’habille de blanc
Comme le moulin dans le vent
Instant de paix
Où l’eau clapotait.
Les eaux turquoises nous invitent
A terminer notre fuite
Pour se reposer devant ce grandiose paysage
Afin de s’allonger sur cette plage.
A l’encre de mon imaginaire 
ho vivement que l’on puisse mais…auront-on cette joie cette année? Bisous
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Je l’espère c’est l’Europe on pourra peut-être s’y balader….Bisous
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Il faut se projeter et rêver EvaJoe
Perso je ne projette de regagner mon île le plus vite possible
Bises et bon jeudi
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Oui beau rêve mais certainement inaccessible cet été ….même en Europe !
Ne peux-tu me rendre visite sur mon blog de temps en temps lol
Bises
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J’y suis allée Denise et j’ai commenté…Bizarre que tu ne l’aies point vu…
Espérons que nous pourrons au moins voyager en Europe.
Bisous
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Ne t’inquiète pas…je l’ai vu…et y ai répondu…Mais après être allée sur ton blog….
Merci
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Les côtes, la mer, le soleil, le bruit des vagues qui s’écrasent sur le sable, le cri des mouettes, le rêve d’évasion, tout ce que j’aime. Un très beau poème, Evajoe. Bises et bonne journée
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Très jolie part de rêve que tu nous offres. Comme les autres, je me demande, cet été… Oh oui, j’ose y croire, la mer revoir, me laisser porter par son doux murmure qui me donne la force de rependre une année entière.
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Meunier tu dors 🙂
Bisous
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Le meunier Grec moue -t-il son grain au bord de l’eau je me le demande. Renée doit en connaître un rayon…
Bisous
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Il est bon, d’entretenir ce rêve pour l’à venir ! Il faudra attendre encore bien longtemps !
Bon lundi de Pâques Evajoe,
Bisous♥
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Bonjour Evajoe,
oh oui alors! je te suis sans problème vers ce coin paradisiaque.
Gros bisous
😉
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