Ce que nous ignorions c’est qu’au moment de l’attaque Isabelle et Edith ayant entendu gémir un homme derrière une dune s’étaient avancées en rampant et découvert un spectacle ahurissant.
Deux hommes maintenaient en joue le Général de la Roche. Un était un bédouin et il avait la gâchette d’un pistolet sur la tempe du général, l’autre avait un fusil et une lame brillait dans sa main pleine de sang. Un homme était à terre et saignait abondamment, c’était le Colonel Berthier du Régiment de chasseur Alpin de Briançon.
Sans se concerter les deux jeunes femmes avaient tiré de leur poche un couteau et dans un ensemble des plus parfaits et au niveau du cou avaient blessés mortellement celui qui venait de tuer le Colonel. Quant à l’autre la lame lui avait effleuré le cou et en se retournant avait aperçu Isabelle qui n’avait pas eu le temps de se baisser. Il lui avait tiré une balle dans la tête, et c’est Edith qui avait réussi à l’abattre en lui tirant une rafale avec son FAMAS.
Avec les cris et le bruit des armes personne n’avait su le drame qui s’était déroulé tout près de nous.
Édith avait toujours dit avoir vu une femme s’enfuir, elle n’avait pas pu la poursuivre tant la bataille faisait rage et que le Général avait besoin de soins ainsi qu’Isabelle. Le Général n’aurait jamais dû être sur cette embuscade or il avait été appelé par une femme qui lui disait : » je viens d’être faites prisonnière par les rebelles, ils vont être pris dans un guet apens mon gé ». Et la communication avait été coupée.
Était-ce Mimie ? Avait-elle eu du remord ? A ce jour nous n’en savons rien. Nous ne l’avons jamais revu, enfin on croyait jusqu’à aujourd’hui…
En rentrant en France nous avions tous pansé nos plaies jusqu’au jour où Dimitri m’avait demandé si j’étais prête à faire un sacrifice pour quelques mois.
Il fallait que je dise à mes parents ainsi qu’à mon frère et à tous mes amis que je m’étais fait à l’armée que je me séparais de Dimitri.
J’étais abasourdie, la seule chose que j’avais faites c’était tourner les talons et partir en courant tout en pleurant. Dimitri m’avait rattraper dans l’escalier du Ministère des Armées. Il m’avait câliné puis nous étions remontés et c’est à ce moment là que j’avais retrouvé le Général De la Roche. Patiemment il m’avait expliqué ce qu’il allait se passer.
Nous allions montés de toutes pièces le plus gros canular mis en place depuis le cheval de Troie.
Notre cheval de Troie ce serai le Projet 50. 50 comme les 50 ans de mon Régiment. J’allais aussi dire que je quittais l’armée et pendant six mois voir plus si nous ne trouvions pas ce qu’il s’était passé au Mali. J’étais toujours sous les ordres du Général mais il devenait mon Boss. Ceci en accord avec notre Ministre de tutelle.
Ce projet consistait à laisser entendre que nous préparions une arme extraordinaire qui empêcherait les bombes de tomber sur un Pays. Une espèce de parapluie anti bombe. Plus c’était gros plus nous serions crû. Surtout que plancherait dessus de grosses pointures comme des généraux, des colonels et deux très grands scientifiques. Et une femme qui dans l’armée était devenue la mascotte de tous les régiments par ces nombreux exploits aux commandes de son hélicoptère. Une pilote hors paire, par contre elle venait de se séparer de son beau et ténébreux mari le Commandant Dimitri Mahusier. Ceci afin d’attirer comme de la glue des prétendantes…
Une fois cette bombe lancée, nous avons eu de nombreux appels téléphoniques de Pays qui voulaient nous prêter des agents pour nous aider. Tant le projet intéressaient. Mais aussi nous avons subi des assauts répétés d’autres pays qui essayaient de détourner nos agents. Tous intégrés ils n’ont rien dit. Surtout qu’au fond ils n’avaient rien à défendre puisque c’était faux.
Nous avions trouvé un bureau que nous avions baptisé Import-export. Nous n’étions pas tous présents tous les jours sauf le Boss, et les deux scientifiques, ceci pour accréditer la thèse que c’était un projet exceptionnel qui méritait les meilleurs. Quant à Moi j’étais là plus pour le courrier. Je ne m’ennuyais nullement car je passais du temps à discuter avec mon Boss de strategie militaire. Les deux scientifiques étaient largement occupés pour d’autres affaires.
Pendant trois mois hormis les sollicitations dont j’ai fait état, rien ne s’était passé de probant.
Puis j’ai reçu un courrier anonyme qui disait ceci :
Souviens-toi d’Isabelle morte par ta faute.
J’ai donc comme prévu dans mon contrat donné aux experts de la gendarmerie le courrier où ils n’ont trouvé aucune trace d’ADN connu. Rien ne permettait de trouver qui avait pu envoyer pareil courrier. Comme j’habitais dans un hôtel, on avait pu me suivre, mais encore fallait-il savoir que j’étais au Mali ?
Chacun de ceux qui étaient dans le Commando ont subi un test de graphologie. Aucun d’eux n’étaient celui qui avaient écrit le courrier. Le Général, Dimitri et moi avons pensé que c’était la seule qui avait déserté Marie Christine dit Mimie qui devait en être l’instigatrice. Après quelques recherches, nous avons retrouvé dans les archives de l’armée une note écrite de sa main. Et c’était bien son écriture. Mimie était en début de cette année au Québec car le tampon et le timbre le prouvaient. Nous ignorions si elle n’avait pas un complice qui l’avait posté à sa place. Dès janvier nous avions diffusé la photo que nous avions d’elle à Briançon et au Mali à tous les aéroports. Mais jamais nous avons pensé qu’elle subirait une « chirurgie faciale complète » .
Celle qui se trouve dans une cellule de la police a eu le visage entièrement refait selon les médecins qui l’ont examinés. Oreilles forme du visage, bouche implantation des cheveux. Méconnaissable puisque Dimitri ne l’a pas reconnu. Ni aucun d’entre nous.
Mais je dois continuer mon récit. Depuis le mois de mars je croisais toujours le même homme, c’était Gwen sans être Gwen, lui était rentré avec nous, mais vu avec du recul il n’avait jamais fait mention qu’Isa était sa demi-soeur.
Puis les annonces dans le journal ont commencées à paraître, les premières je n’y ai pas prêté attention. Puis comme je cherchais un pied-à-terre plus loin de Paris et sa banlieue j’ai un jour machinalement regardé les annonces dans leur intégralité, certains jours pour m’occuper dans les bureaux d’import-export. C’est aussi à ce moment-là qu’un Colonel qui partait à la retraite nous a demandé de prendre sa petite fille qui voulait travailler dans le secrétariat, car elle n’avait pas trouvé de stage. Mon Boss a hésité mais comme il connaissait la jeune fille nous l’avons pris pour un stage de 15 jours. Nous lui avons donné un travail bidon et nous ne pensions pas qu’elle allait nous trahir.
la louve était entrée dans la bergerie.
Elle avait demandé le dernier jour où elle nous quittait si elle pouvait m’envoyer un courrier pour me remercier. Un des scientifiques lui l’avait donné. Ce jour là j’etais avec mon fils et Dimitri chez ma belle-mère qui très malade n’était pas au courant du mensonge orchestré auprès de mes parents et de tous ceux qui me connaissaient. C’est ce jour-là que Dimitri m’avait dit avoir rencontré au sein de la BRI une jeune femme charmante. Cela montrerais aux yeux de tous que notre mariage était terminé.
A nouveau j’avais eu un pincement au coeur et senti que Dimitri s’éloignait. Mais en bon soldat je me sacrifiais sans penser que le piège se refermait sur nous. La porte était ouverte et j’allais être dans la tourmente.
Et bien entendu Gwen était parmi ceux qui allaient me servir de garde du corps, tout en nous trahissant. Vraiment j’avais senti le vent tourné et lui avait commis de nombreuses fautes. Quant à sa demi-soeur elle dès son apparition dans les bras de Dimitri je l’avais détesté. Gwen et Marie nous observaient pour nous faire tomber. Mais la question reste poser pourquoi nous haïr ?
Je fais partie de ceux qui vont interroger Marie, la nuit dernière Gwen s’est suicidé dans sa cellule. Il a laissé une lettre où il accuse Marie d’avoir soudoyé la petite stagiaire en lui faisant peur. Et d’avoir mis en place au Mali le guet apens où bon nombre de nos camarades sont tombé. En ce qui concerne l’accident sur l’autoroute où le Général devait mourir, il a dit être le conducteur de la moto et Marie le bras armé. Mais il expliquait pas la raison qui avait poussé Marie… Quel que soit son prénom à commettre ces actes odieux, surtout ceux du Mali et l’attentat sur le Général. Il ajoutait que c’était lui qui avait refait le visage de tous ceux qui se trouvaient à la gare. Il donnait leur adresse, et pensait qu’il n’en manquait qu’un seul à l’appel. Le mari de sa soeur .
EPILOGUE
Marie est muette, aucun son n’est sorti de sa bouche, aussi nous l’avons remise aux autorités militaires. Elle risque la cour martiale et la prison militaire à vie alors que nous lui avions proposé pour qu’elle se mette à table d’être emprisonné à la Maison d’arrêt de Versailles.
Au moment où elle part menottée, de rage je lui dit que Gwen s’est pendu dans sa cellule et qu’il l’accuse dans une lettre. Elle me regarde et me dit :
Je sais que tu ne m’aimes pas, mais toi tu m’as pris le seul homme que j’aimais, aussi je te hais et dehors un jour où tu ne t’y attendras pas mon mari te tueras. Peu importe les dommages collatéraux c’est un kamikaze, un rebelle à toutes causes c’est un terroriste. Cette tirade et cet aveu rejoignaient ce que nous avions lu dans le courrier d’adieu de Gwen.
Je n’ai rien laissé paraître mais je me suis effondrée dans les bras de Vincent mon beau-frère dès qu’elle n’était plus dans le Commissariat. Moi qui pensait être à l’abri en ayant trouvé celle qui nous avait fait tant de mal. Dehors il y avait un homme qui savait tout de moi.
A 25 ans rester en prison à vie ce n’est pas ce que chacun veut vivre. Elle n’a assassiné personne, elle a juste commandité et livré aux rebelles ses camarades de combat et son Colonel. Et a essayé d’éliminer le Général de la Roche en l’attirant dans le guet-apens. Elle a programmé l’accident et tuer les deux gardes du corps et sûrement pensé les avoir tous éliminés. C’est une tentative d’attentat sur un haut gradé. Et surtout le Général ne pourra plus être sur le terrain. Son travail va consister à être dans l’administration. Mais le connaissant comme nous le connaissons tous il sera appareillé et commandera à nouveau ses femmes et ses hommes.
J’ai réussi à siéger au tribunal militaire, le Général a pensé qu’en me voyant elle parlerait. Elle n’a pas d’avocat, elle va se défendre seule.
En effet le premier jour dès qu’elle m’a vu elle a demandé que je sois révoqué. Le Général avait prévu cette hypothèse et avait ajouté dans l’acte d’accusation que les seuls jurés militaires seraient ses anciens compagnons d’armes y compris Dimitri et forcément moi Edith Mahusier.
Elle n’a rien dit mais j’ai senti au regard qu’elle m’a lancé qu’elle était à son tour pris au piège. Nous avons dû attendre huit longs jours avant qu’elle nous dise la raison pour laquelle elle avait essayé de tuer par deux fois le Général de la Roche.
En faisant des recherches sur ses origines elle était tombée sur un livret de famille qui appartenait à ses parents. Sur la page de leur mariage il était noté que sa mère morte à sa naissance s’appelait Myriam de la Roche, elle était la fille unique du Général. C’ est la raison pour laquelle elle s’était engagée dans l’armée. Un jour elle avait fait un acte de bravoure et le Général l’avait décoré, au moment où il lui mettait la médaille, elle lui avait dit :
Je suis Marie votre petite fille. Le Général avait continué son travail et quelques jours plus tard avait fait appeler Marie.
Le Général étant le procureur lui avait dit que vous ai-je répondu ?
Que vous n’aviez jamais eu d’enfants n’étant pas marié, par contre vous aviez un frère mais qu’il travaillait dans la vie civile et qu’il n’avait jamais été Général.
Pourtant je l’ai vu ce livret de famille s’était mise à vociférer Marie. Il avait fallu l’évacuer et décider que la séance reprendrait à 14 h, le temps que chacun reprenne ses esprits.
Mais pourquoi me disais-je au moment de la pause elle nous a entraîné dans sa vengeance ? Dimitri m’a dit au creux de l’oreille qu’il avait compris. Et que si elle ne parlait plus , il demanderait a être cité comme témoin à charge.
A son retour la pièce était électrisée par ses propos du matin.
Le Général Francis de la Roche ayant demandé de témoigner avait été appelé à la barre.
Il avait raconté que son frère aîné avait eu cette enfant la mère de l’accusée avec leur bonne il avait à peine 15 ans. Son père militaire de carrière l’avait mis dans un lycée Militaire pour qu’il rentre dans le droit chemin. Ce qui du reste était arrivé. Il avait ôté par contre de son nom la particule et s’appelait Paul Roche. Il avait coupé les ponts avec sa famille mais voyait de temps en temps ses frères et soeurs.
Quant à la jeune bonne son père lui avait donné de l’argent pour qu’elle puisse mettre son enfant au monde et lorsque sa petite fille s’était mariée lui avait laissé prendre le nom de De la Roche, le Général avait toutefois ajouté que Francine n’en ferait pas état et qu’elle prenait celui de son mari. Et que personne ne devait savoir quoi que ce soit. Mais le livret de famille les avait trahis. Car l’histoire s’était répété, cette jeune femme avait eu Isabelle et un autre enfant avec son mari et Mimie ici présente, et Yves avec le père de Gwen.
Dimitri avait laissé au Général un mot et avait demandé de témoigner si Marie ne parlait pas. Cette dernière à la suite des explications du Général s’était à nouveau muré dans un silence impressionnant. Personne ne parlait. Au bout d’un quart d’heure le procureur Général avait appelé à la barre Dimitri.
Marie avait poussé un hurlement en le couvrant d’injures et en lui interdisant de parler.
Dimitri avait livré à la cour que Marie et Vincent son frère étaient parent par leur mère. Comme Vincent et Isabelle n’était pas le frère et la sœur de Marie et d’Yves ils avaient à la mort de leurs parents été placés dans un foyer. Puis Vincent avait été adopté par les parents de Dimitri. Isabelle avait refusé d’être adoptée.
Marie se souvenait de Vincent qui s’occupait d’elle jusqu’à ce que son père l’emmène avec son frère vivre chez Gwen. Enfant unique, s’il avait aimé cette petite soeur il avait haï Yves, c’était un garçon et il était brillant dans ses études tout lui réussissait. La jalousie s’était insinué en lui jusqu’à l’avoir poussé à s’engager. Il était mort cinq ans auparavant en héro.
Marie avait retrouvé Vincent, effectivement il s’appelait Mahusier, mais en allant au Services Sociaux elle avait réussi à demander son dossier en se faisant passer pour Isabelle. Elle avait découvert que Vincent avait été adopté par la famille Mahusier, elle servait sous les ordres d’un Mahusier, elle s’était rapproché de lui et avait voulu avoir une aventure avec lui, et il.lui avait appris qu’il était marié à une femme adorable .
Un jour qu’elle passait à proximité du mess des officiers elle les avait vu s’embrassant comme des fous, les avaient suivis et elle avait fomenté une vengeance pour se débarrasser de celle qui lui prenait son amour.
Marie au moment où Dimitri a terminé son témoignage, elle se lève et lance un couteau sur Dimitri qui le reçoit dans le coude. Elle est ceinturée et emmenée. A ce jour nul ne sait qui a pu lui donner ce couteau.
Avant d’être enfermée, on lui a ôté la seule médaille qu’elle avait eu. Marie est enfermée à vie dans une prison militaire et suit un traitement psychiatrique.
Son mari a été tué dans une embuscade par Édith. Personne ne lui l’a dit.
FIN
J’espère que vous vous perdrez pas dans cette histoire de famille.
Francine est à la fois la nièce du General et la mère des quatre enfants Isabelle l’aînée et Vincent le cadet.
Avec le père de Gwen elle a eu Marie et Yves son jumeau.
Ces deux derniers ont été accueilli chez les parents de Gwen compte tenu que le père de Gwen était aussi leur père.
Quant à Vincent il a été adopté par les parents de Dimitri. Isabelle préférant resté en foyer.
A bientôt pour une nouvelle histoire….
Eh bien, Evajomercredi tout compris, mais quelle famille « Tuyaux de poêle » 😂
Bises et bon mercedi – Zaza
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Je ne comprends pas tout ce que tu m’écris. Je pense que tes mots se sont emmêlé…😂
Bisous en ce jeudi
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Ce que je te disais :
Eh bien, Evajoe, j’ai tout compris. Mais quelle famille « Tuyaux de poêle »…
Bisous du jour – Zaza
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J’ai eu du mal à tout suivre je t’avoue, bon tout ce que j’ai capté, c’est qu’il y a une grosse histoire de famille bien compliquée.
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Disons que lorsque la jalousie devient de la haine. Tout est possible.
Dans une nouvelle c’est un peu condensé. Je l’avais écrit pour le publier en roman, alors en récupérant l’essentiel j’ai peut-être oublié 😉 des passages qui auraient pu t’aider.
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Merci beaucoup à toi, Eva Joe pour cette histoire de famille !!! À la prochaine.
Bisous♥
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Merci d’être toujours autant assidue à mes histoires.
Une famille qui a la haine chevillée au corps et se venge. Hélas ça existe.
Bisous pour toute ta journée de jeudi.😘
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C’est vrai que c’est un peu compliqué ces destins qui se croisent et s’entremêlent. Les explications étaient vraiment nécessaires. J’ai aimé le rythme de ton polar, le suspense, les dialogues qui donnent beaucoup de vie.
Merci Evajoe
gros bisous!!!!!!!!
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Bonjour Martine,
Oui j’avais écrit au départ pour le publier, alors j’ai essayé d’en prendre que l’essentiel. Les destins d’inconnus au départ se font et se défont, les familles s’entremêlent. Mais c’est aussi la vie de famille recomposée.
Je ferais plus simple la prochaine fois. Rire !!
Mais je vois que tout au long du récit tu as aimé, pour moi c’est l’essentiel.
Bisous et bonne fin de semaine.
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Voilà, j’ai su ce qu’était le projet 50..
Une famille composée, recomposée, décomposée.
Mais dans une famille juste « normale », ce n’est déjà pas si simple parfois. Les caractères et les rencontres font que ça fritte. J’espère pour eux que cela ne va pas jusqu’à son paroxysme comme ici. Mais l’humain est l’humain, c’est comme ça et on n’y peut rien..
Tu te rends compte que je ne viens presque plus sur les blogs et que le mien est en friche. J’espère pouvoir un jour reprendre vraiment ou presque.
Bisous EvaJoe, continue.
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